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Des partisans du président Zelaya attendent son retour de l'exil à Tegucigalpa. Photo EDUARDO VERDUGO / ASSOCIATED PRESS |
Par le biais de ce texte, signé à Cartagena (nord) Tegucigalpa s'engage à respecter "pleinement les droits" de Manuel Zelaya, sa "sécurité" et sa "liberté".
L'actuel gouvernement s'engage aussi à veiller "au respect et à la protection des droits de l'homme", et à l'inclusion dans les "processus politiques et électoraux" du parti de Zelaya, le Front national de résistance populaire (FNPR).
Accord "historique"
Manuel Zelaya a pour sa part salué un accord "historique" de "réconciliation nationale", en assurant qu'il s'agissait de "bonnes nouvelles pour les démocraties d'Amérique latine".
La réunion entre Porfirio Lobo et Manuel Zelaya avait été annoncée en début de matinée par la présidence colombienne et de Tegucigalpa, presque simultanément.
Elle fait suite à une médiation de plusieurs semaines menée par le président colombien Juan Manuel Santos, présent dimanche, et son homologue du Venezuela Hugo Chavez, représenté à Cartagena par son ministre des Affaires étrangères Nicolas Maduro.