Parution : 17/03/2009
ISBN : 978-2-7489-0095-8
248 pages
12 x 21 cm
18.00 euros
ISBN : 978-2-7489-0095-8
248 pages
12 x 21 cm
18.00 euros
À paraître le 17/03/2009
Les militants du Front Patriotique Manuel Rodriguez (FPMR) viennent brutalement rappeler que, derrière les apparences de la «transition démocratique», les comptes de la dictature sont loin d’être réglés.
L’ouvrage retrace l’épopée des groupes qui, jusqu’au bout, menèrent la lutte armée contre le régime sanglant de Pinochet. Il commence avec l’attentat de septembre 1986 contre le dictateur, à l’époque où rien ne garantit encore que les militaires abandonneront bientôt le pouvoir. Racontant la répression, la torture et les assassinats menés par cet État-client des États-Unis, le récit se termine en questionnant ceux qui veulent croire que la situation est redevenue «normale» dans ce pays marqué par plusieurs décennies de dictature.
Toujours condamnés par la justice chilienne, les évadés de 1990 continuent à symboliser les limites et l’ambiguïté de la «transition». Après la mort de l’ancien dictateur, ils restent les derniers exilés de Pinochet.
L’ouvrage retrace l’épopée des groupes qui, jusqu’au bout, menèrent la lutte armée contre le régime sanglant de Pinochet. Il commence avec l’attentat de septembre 1986 contre le dictateur, à l’époque où rien ne garantit encore que les militaires abandonneront bientôt le pouvoir. Racontant la répression, la torture et les assassinats menés par cet État-client des États-Unis, le récit se termine en questionnant ceux qui veulent croire que la situation est redevenue «normale» dans ce pays marqué par plusieurs décennies de dictature.
Toujours condamnés par la justice chilienne, les évadés de 1990 continuent à symboliser les limites et l’ambiguïté de la «transition». Après la mort de l’ancien dictateur, ils restent les derniers exilés de Pinochet.
Xavier Montanyà est journaliste à Barcelone, à la Vanguardia, Vilaweb et Sapiens. Auteur d’ouvrages et de documentaires sur les résistances au régime franquiste, il interroge notamment les zones laissées dans l’ombre depuis le retour à la démocratie, à l’époque où, en Espagne, les controverses sur ce sujet remontent à la surface.