Et puis le gouverneur provincial d’Iquique (la capitale de la région), Francisco Pinto, a signalé que les familles avaient été prévenues de l’expulsion entre mars et mai derniers. Bizarrement, tous ces gens qui vivaient dans des logements auto-construits avec les moyens du bord n’ont pas trouvé d’autre solution entre-temps… Là aussi, c’est toujours le même genre de justifications « démocratico-légales » du côté du pouvoir, et toujours les mêmes injustices sociales.