Eugenio Merino est soutenu par d'autres artistes, plusieurs d'entre eux exposent la vision peu habituelle des relations totalitaires avec le monde de la création, par exemple Santiago Sierra, qui assure que les artistes se sont situés toujours du côté du pouvoir et des puissants : "Ils les ont peints les saints, les dictateurs; c'est l'une des professions les plus complices... Le coeur même de la politique est pur art et artifice pour subjuguer les populations. Les artistes, nous faisons partie de ce jeu. Nous fomentons l'incompréhensible parce que l'art est quelque chose qui sert à la bourgeoisie, et que le goût des privilégiés est toujours contraire aux gouts populaires".