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LA VOITURE DU PRÉSIDENT DE L'UNIVERSITÉ DE SANTIAGO DU CHILI, APRÈS L'ATTAQUE AU COCKTAIL MOLOTOV PHOTO HÉCTOR YÁÑEZ |
Des représentants de la confédération des étudiants du Chili (CONFECH), se sont rendus à l’Université de Santiago du Chili (USACH) pour exprimer leur solidarité au doyen Juan Manuel Zolezzi. Ils ont aussi très vite réagi sur Twitter.
Camila Vallejo, vice-présidente de la Fech, la Fédération des Etudiants de l’Université du Chili, a indiqué que « ces pratiques d’intimidation politique sont absolument condamnables » .
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CAPTURE D'ÉCRAN DU COMPTE TWITTER DE CAMILA VALLEJO |
Camila Vallejo, vice-présidente de la Fech, la Fédération des Etudiants de l’Université du Chili, a indiqué que « ces pratiques d’intimidation politique sont absolument condamnables » .
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CAPTURE D'ÉCRAN DU COMPTE TWITTER DE GIORGIO JACKSON |
« Je ne peux pas croire que des imbéciles peuvent croire qu’ils font quelque chose de " bien " en brûlant une voiture » , a pour sa part déclaré Giorgio Jackson, l’ex-président de la FEUC (Fédération des Etudiants de l’Université Catholique).
Terroristes ?
Six personnes cagoulées ont commis cette attaque, qualifiée de « terroriste », par le président de la USACH.
Juan Manuel Zolezzi a aussi déclaré qu’il avait
« le droit légitime de croire que ces personnes ne sont pas de l’université
» . Mais le mot est lâché : Terroriste. Et repris à mauvais escient par certains, qui ne se privent pas de cet épisode pour se fendre de certains raccourcis, comme : « la CONFECH est au Chili ce que l’ETA est pour l’Espagne
» . Ce tweet, d’un militant de la UDI (le parti le plus à droite de l’échiquier politique chilien), se passe de commentaire.