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LE PRÉSIDENT BOLIVIEN EVO MORALES, LE 21 MARS 2017 À LA PAZ PHOTO AIZAR RALDES |
Morales a qualifié ces expulsions de « mort civile » qui, selon lui, est comparable aux actions israéliennes au Moyen-Orient.Le président bolivien est un farouche opposant de l’État hébreu. En juillet 2014, lors du conflit qui a opposé, à Gaza, le groupe terroriste Hamas et Israël, Evo Morales a placé l'État hébreu sur la liste des « pays terroristes » de Bolivie en signe de protestation. Dans une salve de tweets indiciaires, le président chilien s'en est également pris à Donald Trump, dénonçant le projet du mur qui vise à séparer les États-Unis du Mexique.