Quelques 300 manifestants, la plupart étudiants, se sont heurtés durant deux heures à la police devant le palais de la Moneda, résidence de la président Michelle Bachelet.
Un porte-parole de la police, le colonel Jorge Constanzo a indiqué que 60 personnes avaient été détenues vendredi matin puis 150 autres plus tard.
Les incident ont commencé lorsque les manifestants ont bloqué l'avenue Alameda Bernardo O'Higgins au centre de Santiago et que la police a tenté de les déloger en utilisant des canons à eau, des gaz lacrymogènes et des policiers à cheval.
Les manifestant ont jeté des pierres et des morceaux de bois avant de se disperser dans les rues avoisinantes tandis que les commerçants baissaient leurs rideaux.
La présidente Michelle Bachelet a lancé un appel au calme aux militants d'extrême gauche qui manifestaient en souvenir des frères Rafael et Eduardo Vergara Toledo, assassinés le 29 mars 1985 par la police secrête du dictateur Augusto Pinochet.
«La démocratie au Chili est solide et il n'y a aucune justification pour la violence» a déclaré la présidente.
Un porte-parole de la police, le colonel Jorge Constanzo a indiqué que 60 personnes avaient été détenues vendredi matin puis 150 autres plus tard.
Les incident ont commencé lorsque les manifestants ont bloqué l'avenue Alameda Bernardo O'Higgins au centre de Santiago et que la police a tenté de les déloger en utilisant des canons à eau, des gaz lacrymogènes et des policiers à cheval.
Les manifestant ont jeté des pierres et des morceaux de bois avant de se disperser dans les rues avoisinantes tandis que les commerçants baissaient leurs rideaux.
La présidente Michelle Bachelet a lancé un appel au calme aux militants d'extrême gauche qui manifestaient en souvenir des frères Rafael et Eduardo Vergara Toledo, assassinés le 29 mars 1985 par la police secrête du dictateur Augusto Pinochet.
«La démocratie au Chili est solide et il n'y a aucune justification pour la violence» a déclaré la présidente.