Les réfugiés palestiniens viennent d’un camp de réfugiés situé à la frontière Irak-Syrie. Pour fuir la violence irakienne, ces réfugiés composé de 29 familles, s’établiront dans la zone chilienne de La Calera, située à quelque 70 km au nord de Santiago, la capitale chilienne et dans trois autres municipalités au centre du pays.
Le vice-ministre chilien de l’Intérieur, Felipe Harboe a fait savoir que les réfugiés palestiniens, y compris parents et enfants, espèrent vivre pacifiquement au Chili, et que leurs lieux d’habitation ont été soigneusement choisis par les autorités chiliennes.
"Ces Palestiniens ne constituent aucun risque pour notre pays", a-t-il assuré.
Une fois arrivés sur place, les réfugiés palestiniens obtiendront des soutiens du gouvernement chilien, des églises catholiques et du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), qui cherchent des maisons pour eux et prennent contact avec des entrepreneurs chiliens d’origine palestinienne pour leur offrir des emplois, a expliqué M. Harboe.
L’intégration à la société locale semblera moins difficile pour les réfugiés palestiniens, après qu’ils eurent surmonté la barrière de la langue, a estimé un prêtre catholique chilien, Rodrigo Tupper.
Le vice-ministre chilien de l’Intérieur, Felipe Harboe a fait savoir que les réfugiés palestiniens, y compris parents et enfants, espèrent vivre pacifiquement au Chili, et que leurs lieux d’habitation ont été soigneusement choisis par les autorités chiliennes.
"Ces Palestiniens ne constituent aucun risque pour notre pays", a-t-il assuré.
Une fois arrivés sur place, les réfugiés palestiniens obtiendront des soutiens du gouvernement chilien, des églises catholiques et du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), qui cherchent des maisons pour eux et prennent contact avec des entrepreneurs chiliens d’origine palestinienne pour leur offrir des emplois, a expliqué M. Harboe.
L’intégration à la société locale semblera moins difficile pour les réfugiés palestiniens, après qu’ils eurent surmonté la barrière de la langue, a estimé un prêtre catholique chilien, Rodrigo Tupper.