"L'information dont nous disposons pour le moment fait état de quatre personnes travaillant dans la santé, qui n'ont ni demandé l'asile, ni une protection, mais ont simplement choisi de rester ici et d'essayer de travailler au Chili", a déclaré le ministre aux journalistes.
Il appartient au ministère de l'Intérieur de décider s'ils peuvent rester travailler au Chili, ou non, a-t-il ajouté.
Radio Cooperativa avait auparavant rapporté qu'un urgentiste, un traumatologue et un anesthésiste avaient fait part de leur intention de pas retourner à Cuba.
Elle citait notamment l'association chilienne Solidarité avec Cuba, qui dit avoir été informée par courrier électronique par l'un des trois transfuges.
"C'est une décision personnelle et nous ne sommes pas d'accord avec la manière, car il y a des mécanismes pour immigrer au Chili, mais nous comprenons les raisons personnelles", a déclaré à la radio Dagoberto Hernandez, porte-parole de l'association.
L'ambassadrice de Cuba à Santiago, Ileana Diaz-Arguelles, a exprimé ses regrets vendredi mais dit respecter la décision "personnelle" de "ceux qui ont décidé de ne pas retourner dans notre patrie".
"Ce qu'il faut souligner ce sont les résultats de cette brigade médicale, et le fait que la majorité rentre" au pays, a-t-elle déclaré à radio Cooperativa.
Plus de 60 médecins, infirmiers ou aide-soignants cubains étaient venus au Chili dans les jours suivant le séisme, se déployant dans des hôpitaux de campagne du centre-sud, à Rancagua et Chillan, où ils ont traité plus de 80.000 personnes depuis fin février.
Le séisme et le tsunami ont fait 521 morts et 56 disparus, et causé de lourds dégâts aux infrastructures.
Les derniers membres de la brigade médicale cubaine ont été honorés lors d'une réception jeudi et devaient regagner Cuba à partir de vendredi.
Il appartient au ministère de l'Intérieur de décider s'ils peuvent rester travailler au Chili, ou non, a-t-il ajouté.
Radio Cooperativa avait auparavant rapporté qu'un urgentiste, un traumatologue et un anesthésiste avaient fait part de leur intention de pas retourner à Cuba.
Elle citait notamment l'association chilienne Solidarité avec Cuba, qui dit avoir été informée par courrier électronique par l'un des trois transfuges.
"C'est une décision personnelle et nous ne sommes pas d'accord avec la manière, car il y a des mécanismes pour immigrer au Chili, mais nous comprenons les raisons personnelles", a déclaré à la radio Dagoberto Hernandez, porte-parole de l'association.
L'ambassadrice de Cuba à Santiago, Ileana Diaz-Arguelles, a exprimé ses regrets vendredi mais dit respecter la décision "personnelle" de "ceux qui ont décidé de ne pas retourner dans notre patrie".
"Ce qu'il faut souligner ce sont les résultats de cette brigade médicale, et le fait que la majorité rentre" au pays, a-t-elle déclaré à radio Cooperativa.
Plus de 60 médecins, infirmiers ou aide-soignants cubains étaient venus au Chili dans les jours suivant le séisme, se déployant dans des hôpitaux de campagne du centre-sud, à Rancagua et Chillan, où ils ont traité plus de 80.000 personnes depuis fin février.
Le séisme et le tsunami ont fait 521 morts et 56 disparus, et causé de lourds dégâts aux infrastructures.
Les derniers membres de la brigade médicale cubaine ont été honorés lors d'une réception jeudi et devaient regagner Cuba à partir de vendredi.