Une franche et loyale amitié liait les communistes français à Raymond Aubrac. Nous l'aimions pour sa droiture, sa générosité et, surtout, sa douceur et sa foi en l'espèce humaine. Nous pleurons l'un des nôtres.
En cet instant, mes pensées se tournent vers sa famille, son petit-fils Renaud, ses proches pour leur dire que je partage leur peine.
Pierre Laurent, Secrétaire national du PCF