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L'AVOCAT, ME WILLIAM BOURDON,
S'EST RÉCEMMENT HEURTÉ AU REFUS
DE LA COMMISSION D'INDEMNISATION
DES VICTIMES D'INFRACTION (CIVI).
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Leur avocat, Me William Bourdon, s'est récemment heurté au refus de la Commission d'indemnisation des victimes d'infraction (Civi). Pour la Civi, les faits sont antérieurs à la date butoir du 1er janvier 1976, donc trop anciens pour donner lieu à une compensation financière. Peut-être estime-t-elle aussi, mais sans l'écrire, que la France n'a pas à indemniser des victimes de crimes commis à l'autre bout du monde. Bref, la France était prête à juger, pas à payer. Comme il est peu probable que les ex-militaires versent un jour les dommages et intérêts auxquels ils ont été condamnés à Paris, les familles ne percevront pas un sou.