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Derrière l'unanimité des déclarations d'intégration, certaines discordances n'ont pas manqué d'apparaître, notamment à propos du différend territorial qui oppose depuis des lustres le Chili à la Bolivie.
Et le fait que l'organisme soit dirigé pour un an par le président cubain a fait forcément grincer quelques dents : le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy (conservateur), a « salué pour la première fois Raúl Castro, tandis que la dirigeante allemande Angela Merkel a soigneusement évité toute rencontre avec le président cubain », note le quotidien espagnol El País.