A la veille du début des opérations d'embarquement au port du Havre, le directeur de l'épreuve, Etienne Lavigne, a dévoilé mardi les détails du rallye qui partira et arrivera à Buenos Aires, tant pour le parcours que pour la participation.
Près de 400 véhicules (185 motos et quads, 138 voitures, 50 camions) sont engagés dans cette 31e édition d'une course qui a été contrainte l'an passé de tourner le dos à l'Afrique à cause des problèmes de sécurité qui avaient provoqué son annulation en 2008.
Interrogé sur un possible retour sur le continent africain en 2011, Etienne Lavigne a ouvert la porte à toutes les hypothèses. "On a beaucoup travaillé cette année sur le continent sud-américain mais également en Afrique australe et en Afrique de l'est", a-t-il déclaré en reportant la décision après l'édition 2010: "On peut tout à fait imaginer des Dakar en alternance sur les deux continents."
Pour l'heure, le dirigeant d'ASO (Amaury Sport Organisation) a insisté sur l'immense succès populaire connu en janvier dernier ("600.000 spectateurs pour le départ de Buenos Aires", a-t-il rappelé) et sur les beautés des pays traversés.
"On avait effleuré l'Atacama l'an dernier, on y avait fait deux jours de course, cette fois on va y rester sept jours", a insisté Etienne Lavigne en prévoyant des conditions très dures: "C'est l'un des déserts les plus hauts en altitude de la planète, l'un des plus arides, avec une chaleur de l'ordre de 45 degrés."
Après un début en Argentine qualifié de "plutôt roulant", la course franchira dès le 5e jour la Cordillère des Andes et la frontière entre les deux pays pour sillonner l'Atacama en décrivant une grande boucle dans cette partie nord du Chili. Elle mettra ensuite le cap vers le sud en direction de Santiago avant de revenir en Argentine le 13 janvier.
"Tous les grands ténors de la discipline seront là, en motos, autos et camions", s'est réjoui le directeur du Dakar en soulignant que les cartes étaient redistribués dans les deux catégories majeures.
En autos, le constructeur Mitsubishi, vainqueur de 2001 à 2007, s'est retiré. En motos, les véhicules d'une cylindrée supérieure à 450 cc doivent être équipées d'une bride, qui réduit l'admission d'air dans le moteur.
Quant à l'environnement, sujet polémique à propos du Dakar, Etienne Lavigne s'est félicité d'arriver à "concilier respect de l'environnement et sports mécaniques": "Il y a des contraintes légitimes dans les pays que l'on traverse. On a extrêmement bien travaillé avec l'ensemble des autorités en charge des dossiers environnementaux."
"Le Dakar se porte bien, et même très bien, dans un contexte qui n'est pas facile", a conclu le directeur de l'épreuve en remerciant les deux pays qui accueillent la course "de façon fabuleuse".
Près de 400 véhicules (185 motos et quads, 138 voitures, 50 camions) sont engagés dans cette 31e édition d'une course qui a été contrainte l'an passé de tourner le dos à l'Afrique à cause des problèmes de sécurité qui avaient provoqué son annulation en 2008.
Interrogé sur un possible retour sur le continent africain en 2011, Etienne Lavigne a ouvert la porte à toutes les hypothèses. "On a beaucoup travaillé cette année sur le continent sud-américain mais également en Afrique australe et en Afrique de l'est", a-t-il déclaré en reportant la décision après l'édition 2010: "On peut tout à fait imaginer des Dakar en alternance sur les deux continents."
Pour l'heure, le dirigeant d'ASO (Amaury Sport Organisation) a insisté sur l'immense succès populaire connu en janvier dernier ("600.000 spectateurs pour le départ de Buenos Aires", a-t-il rappelé) et sur les beautés des pays traversés.
"On avait effleuré l'Atacama l'an dernier, on y avait fait deux jours de course, cette fois on va y rester sept jours", a insisté Etienne Lavigne en prévoyant des conditions très dures: "C'est l'un des déserts les plus hauts en altitude de la planète, l'un des plus arides, avec une chaleur de l'ordre de 45 degrés."
Après un début en Argentine qualifié de "plutôt roulant", la course franchira dès le 5e jour la Cordillère des Andes et la frontière entre les deux pays pour sillonner l'Atacama en décrivant une grande boucle dans cette partie nord du Chili. Elle mettra ensuite le cap vers le sud en direction de Santiago avant de revenir en Argentine le 13 janvier.
"Tous les grands ténors de la discipline seront là, en motos, autos et camions", s'est réjoui le directeur du Dakar en soulignant que les cartes étaient redistribués dans les deux catégories majeures.
En autos, le constructeur Mitsubishi, vainqueur de 2001 à 2007, s'est retiré. En motos, les véhicules d'une cylindrée supérieure à 450 cc doivent être équipées d'une bride, qui réduit l'admission d'air dans le moteur.
Quant à l'environnement, sujet polémique à propos du Dakar, Etienne Lavigne s'est félicité d'arriver à "concilier respect de l'environnement et sports mécaniques": "Il y a des contraintes légitimes dans les pays que l'on traverse. On a extrêmement bien travaillé avec l'ensemble des autorités en charge des dossiers environnementaux."
"Le Dakar se porte bien, et même très bien, dans un contexte qui n'est pas facile", a conclu le directeur de l'épreuve en remerciant les deux pays qui accueillent la course "de façon fabuleuse".