Ils opéraient alors dans un ancien atelier mécanique, Automotores Orletti, situé dans un quartier modeste de la capitale. Ils sont poursuivis pour détention illégale, torture et homicide qualifié dans les dossiers de 65 victimes. Le plan Condor avait été mis sur pied par les dictatures d'Argentine, du Chili, du Paraguay, du Brésil, de la Bolivie et de l'Uruguay en vue d'éliminer leurs opposants. Le bâtiment qui abritait ce centre de torture a été reconverti en lieu de mémoire.