Tout le monde doit condamner ce genre d'incident, qui "n'est pas accepté dans notre pays comme une forme d'expression", a déclaré la porte-parole du gouvernement chilien, Carolina Toha.
"Il y a tous les moyens pour nous exprimer d'une façon respectant les droits des autres, sans intimidation, sans menacer la sécurité de la population", a ajouté Mme Toha.
Les explosions se sont produites tôt mercredi matin avec une puissance faible, et ont seulement brisé des fenêtres. Toutefois, les attaques ont paniqué les personnes qui étaient en train de faire des exercices à ce moment là.
Depuis 2006, le pays a connu environ 100 attaques à la bombe, la plupart contre des banques. Mme Toha a annoncé que les autorités ont déjà ouvert une enquête sur ces attaques.