M. Zelaya a indiqué sur une radio locale dans la capitale du Chili, Santiago, qu'il a remercié la présidente chilienne, Michelle Bachelet, présidente temporaire de l'Unasur, pour l'appel à sa reprise des pouvoirs de président du Honduras.
"Le Chili et l'Unasur sont les plus déterminés à condamner ce coup d'Etat, à ne pas reconnaître ses autorités et à demander une restitution immédiate du système démocratique au Honduras", a ajouté M. Zelaya.
Mme Bachelet a déclaré lundi que la communauté internationale ne doit accepter d'autre solution à la crise politique au Honduras, que la restauration de l'ordre constitutionel.
Après une date limite de 72 heures pour trouver une solution afin de résoudre la crise politique au Honduras, la présidente chilienne espère que la médiation aboutira à une "solution convenue et pacifique".
Mme Bachelet a fait l'éloge de M. Zelaya pour sa bonne disposition (afin de trouver une solution) et exprimé ses regrets que "le gouvernement hondurien par intérim n'a pas présenté les mêmes dispositions".
Après le coup d'Etat du 28 juin lors duquel, M. Zelaya a été détrôné par la force, l'Union européenne, la Banque interaméricaine de Développement, la Banque mondiale et d'autres institutions internationales ont supprimé leurs aides au Honduras.
"Le peuple hondurien ne peut pas continuer à vivre dans une telle situation à payer le prix de l'isolement international", a ajouté la présidente chilienne.
La communauté internationale n'acceptera aucune autre alternative, sauf le rétablissement de l'ordre de la loi et la démocratie au Honduras, a-t-elle conclu.
"Le Chili et l'Unasur sont les plus déterminés à condamner ce coup d'Etat, à ne pas reconnaître ses autorités et à demander une restitution immédiate du système démocratique au Honduras", a ajouté M. Zelaya.
Mme Bachelet a déclaré lundi que la communauté internationale ne doit accepter d'autre solution à la crise politique au Honduras, que la restauration de l'ordre constitutionel.
Après une date limite de 72 heures pour trouver une solution afin de résoudre la crise politique au Honduras, la présidente chilienne espère que la médiation aboutira à une "solution convenue et pacifique".
Mme Bachelet a fait l'éloge de M. Zelaya pour sa bonne disposition (afin de trouver une solution) et exprimé ses regrets que "le gouvernement hondurien par intérim n'a pas présenté les mêmes dispositions".
Après le coup d'Etat du 28 juin lors duquel, M. Zelaya a été détrôné par la force, l'Union européenne, la Banque interaméricaine de Développement, la Banque mondiale et d'autres institutions internationales ont supprimé leurs aides au Honduras.
"Le peuple hondurien ne peut pas continuer à vivre dans une telle situation à payer le prix de l'isolement international", a ajouté la présidente chilienne.
La communauté internationale n'acceptera aucune autre alternative, sauf le rétablissement de l'ordre de la loi et la démocratie au Honduras, a-t-elle conclu.