Il semble qu’à San José, considéré comme une petite structure, le site se soit fracturé en raison du manque de fortifications, la communication y était absente. En 2007, les travailleurs de la compagnie et les syndicats avaient déposé une plainte après la mort d’un mineur
(et celle de deux autres sur un second site) et demandé la fermeture de la mine. « Une situation à hauts risques » depuis 2003, a affirmé le secrétaire du syndicat de la compagnie, Javier Castillo.
Dernier avatar de ce business effréné, les propriétaires de la mine « doutent » désormais de pouvoir payer les 33 mineurs et pourraient même se déclarer en faillite, tout en rejetant toute part de responsabilité dans l’accident...