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POCHOIR DU FPMR |
Le FPMR a échoué de peu un attentat à la roquette contre le dictateur; il a réalisé des sabotages et des actions de propagande armée, des actions militaires contre les forces de la dictature. La répression contre les militants du Front (quelques centaines de membres) fut impitoyable. Au début des années 1990, avec le retour à la démocratie, les militants du FPMR, excepté un groupe dissident, optent pour la voie politique et déposent les armes.
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Les militants emprisonnés au moment de la transition ont fait un dernier pied de nez à la dictature, organisant une spectaculaire évasion. Un bon nombre d’évadés sont partis en exil, commutant des condamnations en extradition.
Malgré le délai de prescription atteint, ils ne sont pas à la fin de leurs peines, il y a encore des anciens militants du FPMR interdits de séjour au Chili. Il y a d'autres qui, vivant en exil, sont sollicités par la justice chilienne et ont fait l'objet de demandes d'extradition alors que le vieux dictateur contre lequel ils ont lutté est finalement mort dans son lit, sans jamais avoir été jugé pour ses crimes.