Des médias locaux ont souligné qu'il avait été en désaccord avec une commission chargée d'enquêter sur un achat militaire.
Il avait été sommé de s'expliquer sur l'achat d'un pont militaire après le séisme dévastateur de février 2010. M. Ravinet avait alors refusé de collaborer, arguant que de telles demandes pourraient empêcher l'armée de monter des missions de secours lors de prochaines catastrophes.