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IAN BROSSAT DANS LE STUDIO DU FIGARO. PHOTO SÉBASTIEN SORIANO |
Exclu d’un débat de France 2, Ian Brossat, tête de liste PCF, demande à être reçu par Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions.
CAPTURE D'ÉCRAN |
«EUROPÉENNES: IAN BROSSAT (PCF) S'INDIGNE DE
NE PAS ÊTRE INVITÉ AU DÉBAT DE FRANCE 2 »
NE PAS ÊTRE INVITÉ AU DÉBAT DE FRANCE 2 »
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« Le Parti communiste français est présent dans les deux Assemblées, avec plus de trente parlementaires qui prennent part au fonctionnement institutionnel de notre pays. Les Françaises et les Français se sont choisi plus de 7 000 élu·e·s locaux et nationaux de notre famille politique pour les représenter, plus de 800 maires et trois parlementaires européens pour faire entendre et respecter leur voix », rappelle également l’adjoint PCF à la Mairie de Paris. À ceux qui penseraient lui objecter le poids relatif du PCF dans les sondages (2 à 3 % des intentions de vote), Ian Brossat réplique : « La dernière élection présidentielle a démontré qu’il était possible de proposer aux Français des débats télévisés de grande qualité en y conviant l’ensemble des forces en présence. C’est cela la vitalité de notre démocratie. » Car, à n’accorder la parole qu’à ceux qui sont en tête des sondages, on risque d’en faire une prophétie autoréalisatrice. Et les exemples se multiplient. Sur BFMTV une soirée spéciale annonce pour le 20 mars : « La crise et après ? Le débat des chefs de parti »… avec seulement six d’entre eux, encore sans le PCF.
Julia Hamlaoui
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